mardi 6 octobre 2020

Pensées

 Au bord du lac j’ai vu un huard déployer ses ailes. Je me suis arrêtée. 

Des soleils vides ont rempli l’espace pour rougir dans l’immensité. La peur a reculé.


Les jours ont passé, plus grand que les nuits pour faire place à l’attente.


Juste un jour ou deux et déjà, une fuite paisible qui se promène à l’ombre. 


J’ai rougi devant ton regard déjà troublé. Interprétons les rêves au risque de se perdre. La rosée a recouvert l’aube au point de paraître. 


Juste que ça avait l’air

dangereux et douteux.


J’ai rougi devant ton regard déjà troublé. Interprétons les rêves au risque de se perdre. La rosée a recouvert l’aube au point de paraître. 


Une ride sur ton passé. La foudre dans l’été. Au désespoir déjà. Et l’amère amertume, dégoulinant en vain. Le trouble sur ta main. Un coup incertain. Tout est déjà si loin. Ah... Ah... 



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