samedi 29 juillet 2017

Beauvoir, Groult, Fanon, Césaire

J'ai déjà écris sur Beauvoir et Groult, pour ensuite dé-publier mes articles, par peur de tomber dans des lieux communs. Mes articles sont médiocres mais originaux, je préfère dire des conneries que des banalités, m'exposer plutôt que de ne rien donner...
J'ai lu Beauvoir et Groult cette année, puisque j'ai redécouvert le féminisme. La lecture, d'abord, d'Ainsi soit-elle puis du Deuxième sexe, ont été pour moi, comme pour beaucoup de femmes, de véritables révélations, qui m'ont permis de me comprendre en tant que femme. Parce que la vie te rattrape et oui, à un moment, t'es bien obligée

Dans ces bras là de Camille Laurens et J'étais derrière toi de Nicolas Fargue

Je la reconnais très vite, je pense que c'est elle que j'avais entendu dans Plus on est de fous, plus on lit, qui revendiquait le droit au désir pour les femmes ménopausées, le droit de se taper des petits jeunes si on a envie comme des hommes peuvent se taper des femmes plus jeunes qu'eux. Comme je trouvais qu'elle parlais bien, mon ex avait dit "c'est ridicule".
Non, seulement elle parle bien, mais elle écrit magnifiquement. Ce qu'elle revendique est très important, l'entrevue ci-dessus le résume bien. J'ai lu le roman Dans ces bras-là, trouvé dans une bibliothèque communautaire, le hasard fait bien les choses, merci à celle-celui qui l'a laissé... Dans ce roman, la narratrice est encore à un âge où elle

mercredi 19 juillet 2017

Petit pays de Gaël Faye et Un dimanche à la piscine à Kigali de Gil Courtemanche

J'ai commencé par Un dimanche à la piscine à Kigali de Gil Courtemanche, trouvé par hasard au café l'Accès, dans une bibliothèque genre "livre laissés, livres à laisser" et que j'avais envie de lire depuis longtemps. Gil Courtemanche a travaillé au Rwanda pendant le génocide et a écrit ce roman pour témoigner. Ça faisait longtemps que j'avais lu des livres là-dessus et c'est toujours incompréhensible. Le roman de Courtemanche est assez provocateur, le personnage principal assez