Je ne m’étais
pas pris une telle claque depuis ma découverte du féminisme et ma lecture du
Deuxième sexe. Ce n’est pas un hasard si
je suis tombée sur ce bouquin car ma prise de conscience féministe et
sur les violences à l’égard des femmes dues au patriarcat et à la violence
structurelle m’a fait prendre conscience de la violence à l’égard des
enfants. Et à son origine structurelle,
c’est-à-dire due à un état de la société.
Quiconque a
été parent ou enfant (tout le monde en fait) a expérimenté la violence dont
cette « classe » peut être victime. Car Bonnardel parle des mineurs
comme d’une classe dominée arbitrairement.