Je ne sais pas si je suis amoureuse de lui mais peut-être qu’il m’aime. Peut-être est-il amoureux de moi maintenant je ne sais plus comment m’y prendre. Soit je lui demande de sortir avec moi. Je le fais directement mais je suis pas sûre qu’il m’aime bien. Donc je le connais bien mais je sais pas si il m’aime vraiment ou comme ami. La seule chose que je veux lui dire c’est que je l’aime vraiment mais peut-être qu’il n’a pas les mêmes sentiments pour moi mais je sais que l’amour est difficile 😍👩🏽❤️💋👨🏼
jeudi 27 février 2025
En France
Je m'assois à la terrasse d'un PMU* pour boire mon café.
En vrai, le café français me semble un peu amer. Où est mon Tim Horton? Lol, j’aurais jamais cru dire ça.
Je recopie ce texte sur un clavier azerty et je galère.
En vrai, le café français me semble un peu amer et les bâtisses me semblent vieilles.
Mais en même temps, notre expresso a du caractère et les maisons aussi.
Ne me demandez pas lequel de mes deux pays je préfère. Je les aime tous les deux, le Québec et la France, mais quoi, présentement je suis nostalgique de la France.
*Les PMU sont des petits cafés, où on vend des cigarettes et des jeux à gratter, des billets de tiercé et de loto.
mercredi 26 février 2025
La mode entre en moi (par Adama)
Poème d’adolescence (écrit à 15 ans, retrouvé récemment)
Quand sera fini l’acné juvénile, les premières règles, le lycée, les putains j’en ai marre, les coups de cafard, les boules, les putains ça fait chier, la solitude, la folie passagère, les putain c’est tous des cons ou quoi, les rêves, les fantasmes, les grands projets, les putain elle est pourrie cette société,
Quand il n’y aura plus de premières fois, de premiers hommes, de premier boulot, de première cuite, de première connerie à attendre, et que tout ça sera loin,
Quand j’aurai vraiment les boules pour moi, que j’arriverai plus à dormir, que je saurai ce qu’est la vraie solitude, que j’aurai plus rien à foutre, que le mois deviendra une seconde,
Alors j’me dirai putain c’était bien l’adolescence.
lundi 17 février 2025
Les pas dans la neige
On marchait dans la neige et on mettait nos pas dans les traces d'autres personnes qui avaient marché là avant nous. quand on est arrivé sur la rivière, il y avait des traces de pas vraiment très espacés, et on s'est demandé qui avait pu les faire. La taille des pas n'étaient pas ceux d'un géant, et l'espacement entre les pas aurait été celui d'une personne qui aurait fait des bonds, mais la forme des traces n'avait pas l'air d'une personne qui aurait sauté.